Locomotive / Werklok Krauss 6406/1911 de l'Usine de Pont-à-Mousson à/in Hamburg

Sehr geehrte Werkbahnfreunde, 

derzeit entsteht ein Text über die Lokomotiven einer städtischen Industriebahn in Hamburg, der in Kürze erscheinen soll. Es war auch eine 1942 beschlagnahmte Lokomotive dort im Einsatz, die 1948 wieder an den rechtmäßigen Eigentümer zurückgegeben wurde. Leider ist darüber sehr wenig bekannt und es sind keine Fotos vorhanden. 

Die bislang bekannten Fakten nachstehend:

2.10 Die unbekannte, womöglich requirierte Dampf-Lokomotive Nr. 11 

Die hier kurz skizzierte Lokomotive taucht in der bisherigen Literatur zur Ottensener Industriebahn gar nicht auf. Am 24. September 1945 teilt der Technische Überwachungsverein Hamburg den Städtischen Bahnanlagen in Hamburg-Altona mit, dass für den „Kessel 6406“ die nächste innere Untersuchung im Februar 1946 fällig sei [StAHH, 424-33, Nr. 43] – handschriftlicher Vermerk: „Franzose“. Das Amt für Arbeitsschutz (AfA) – Aufsicht über Dampfkessel und Maschinen fordert mit Schreiben vom 22. November 1951 eine Erklärung für den Verbleib des beweglichen Dampfkessels, da die letzte Untersuchung bereits 1944 stattgefunden hatte [StAHH, 424-33, Nr. 43] – handschriftlicher Vermerk: „Lok XI“.  Dabei handelt es sich „um eine im Jahre 1942 aus dem besetzten Frankreich durch die damalige Reichsstelle für technische Erzeugnisse bezogene Lokomotive, die im April 1948 wieder zurückgegeben wurde“ [StAHH, 424-33, Nr. 43, Schreiben Städtische Bahnanlagen Hamburg-Altona vom 26. November 1951]. Soweit die sehr dünne Aktenlage zu dieser Maschine. Unter der Annahme, dass Kessel- und Fabriknummer übereinstimmen, könnte es sich hier um die von Krauss & Comp. in München unter der Fabriknummer 6406 im Jahre 1911 neu an die Société Anonyme des Hauts-Fourneaux et Fonderies de Pont-à-Mousson (zwischen Metz und Nancy gelegen) gelieferte Lok No. 5 handeln [Schmeiser, Clingan]. Dies auch, weil während der Transportkrise 1942 verfügbare, geeignete Maschinen in den besetzten Ländern in großer Zahl requiriert wurden, denn die deutsche Lokomotivindustrie konnte den Bedarf nach Beginn des Krieges gegen Rußland bei weitem nicht decken. Besonders geeignet für eine Beschlagnahme waren neben Lokomotiven aus den Reparationslieferungen nach Ende des 1. Weltkrieges auch ältere Exportmaschinen deutscher Lieferfirmen aller Spurweiten, eben auch schmalspurige Werkslokomotiven der lothringischen Schwerindustriegebiete.Die Maschine wurde im Jahre 1960 in Pont-à-Mousson verschrottet [Clingan].

Quellen:  

[Clingan] K.W. Clingan, N.A. Needle: Industrial Locomotives of North Eastern France. The Birmingham Locomotive Club, Birmingham 1965, S. 24

und   

[Schmeiser] Bernhard Schmeiser: Krauss-Lokomotiven. Verlag Slezak Wien 1977, S. 108

Eine freundliche Frage an die Leserinnen und Leser des Forums ist, ob jemand weitergehende Angaben zur meterspurigen Lokomotive machen kann und ob es gar Fotobelege der Maschine gibt. 

Sollte es Informationen zur Lokomotive geben würden meine Mitautoren und ich sehr über eine Rückmeldung freuen. 

Es sendet zunächst freundliche Grüße nach Luxemburg

Bernd  Bornau

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Chers amis des chemins de fer industriels,

un article sur les locomotives d'un chemin de fer industriel urbain à Hambourg est en cours de rédaction et devrait paraître prochainement. Une locomotive réquisitionnée en 1942 y était également en service, avant d'être restituée à son propriétaire légitime en 1948. Malheureusement, on en sait très peu à ce sujet et il n'existe aucune photo.

Voici les faits connus à ce jour :

2.10 La locomotive à vapeur n° 11, inconnue et peut-être réquisitionnée

La locomotive brièvement décrite ici n'apparaît pas dans la littérature existante sur le chemin de fer industriel d'Ottensen. Le 24 septembre 1945, l'association de surveillance technique de Hambourg informe les installations ferroviaires municipales de Hambourg-Altona que la prochaine inspection interne de la « chaudière 6406 » est prévue pour février 1946 [StAHH, 424-33, n° 43] – annotation manuscrite : « Français ». Dans un courrier daté du 22 novembre 1951, l'Office pour la sécurité au travail (AfA) – chargé de la surveillance des chaudières à vapeur et des machines – demande des explications sur la localisation de la chaudière à vapeur mobile, car la dernière inspection remontait déjà à 1944 [StAHH, 424-33, n° 43] – annotation manuscrite : « Lok XI ». Il s'agit « d'une locomotive achetée en 1942 dans la France occupée par l'ancien Office du Reich pour les produits techniques, qui a été restituée en avril 1948 » [StAHH, 424-33, n° 43, lettre des installations ferroviaires municipales de Hambourg-Altona du 26 novembre 1951].

Voilà pour les maigres informations disponibles sur cette machine. En supposant que le numéro de chaudière et le numéro de série correspondent, il pourrait s'agir de la locomotive n° 5 livrée neuve en 1911 par Krauss & Comp. à Munich sous le numéro de série 6406 à la Société Anonyme des Hauts-Fourneaux et Fonderies de Pont-à-Mousson (située entre Metz et Nancy) [Schmeiser, Clingan]. Cela s'explique également par le fait que pendant la crise des transports de 1942, les machines disponibles et adaptées dans les pays occupés ont été réquisitionnées en grand nombre, car l'industrie allemande des locomotives était loin de pouvoir répondre à la demande après le début de la guerre contre la Russie. Outre les locomotives issues des livraisons de réparations après la fin de la Première Guerre mondiale, les machines d'exportation plus anciennes des fournisseurs allemands de tous gabarits, y compris les locomotives industrielles à voie étroite des zones d'industrie lourde de Lorraine, étaient particulièrement susceptibles d'être réquisitionnées. La Locomotive a été mise ferraillée à Pont-à-Mousson en 1960 [Clingan].

Sources :

[Clingan] K.W. Clingan, N.A. Needle : Industrial Locomotives of North Eastern France. The Birmingham Locomotive Club, Birmingham 1965, p. 24

et

[Schmeiser] Bernhard Schmeiser : Krauss-Lokomotiven. Éditions Slezak Vienne 1977, p. 108

Nous invitons les lectrices et lecteurs du forum à nous faire part de toute information complémentaire concernant cette locomotive à voie métrique et à nous communiquer toute photographie de la machine dont ils disposeraient.

Si vous disposez d'informations sur cette locomotive, mes coauteurs et moi-même vous serions très reconnaissants de nous en faire part.

Je vous adresse mes salutations les plus cordiales au Luxembourg.

Bernd Bornau